Peu de créateurs connaissent le revenu dont ils vont réellement disposer pour vivre, à partir du chiffre d’affaires qu’ils réaliseront. Le régime Auto-Entrepreneur est il plus favorable qu’un régime Micro, ou qu’un régime réel en entreprise individuelle ? Quid de l’EIRL ? Si l’on opte pour une société, vaut-il mieux se rémunérer en salaire … en dividende ?

Lorsque l’on décide de se lancer dans l’aventure de la création d’entreprise, les choix opérés à la constitution sont cruciaux. Faut-il plutôt exercer sous la forme d’une entreprise individuelle ou créer une société ? Quel sera votre statut social ? Votre régime fiscal ? Quels coûts allez-vous devoir supporter ?

Ces questions fondamentales relèvent d’une optimisation complexe tenant compte d’un savant dosage entre « protection juridique » et « protection sociale » du futur entrepreneur, et la minimisation des coûts sociaux et fiscaux.

Objectif :

la vocation de cet outil est de mettre en comparaison les coûts du régime fiscal et social de l’entreprise individuelle ou de la société selon les différents régimes existants. En fonction des variables renseignées par l’utilisateur, l’outil calculera et proposera le régime le plus favorable à l’entrepreneur, en terme de minimisation du coût global et de revenu net disponible.

Le projet aura donc un double objectif :

  • comparer immédiatement les coûts sociaux et fiscaux selon les différents régimes (entreprises individuelles ou sociétés)
  • connaître avec précision le revenu net disponible entre les mains de la personne physique selon les hypothèses retenues
Autres fonction utiles :
  • curseur pour la simulation des données chiffrées
  • calcul de l’impôt sur le revenu selon la méthode du barème progressif (cet outil inclus toutes les tables de calcul de l’impôt sur le revenu vous permettant de réaliser une simulation précise)
  • mise en comparaison du calcul optionnel du prélèvement forfaitaire libératoire en cas de distribution de dividendes (l’outil proposera l’option la plus favorable à l’entrepreneur)
NB : Les calculs sont réalisés pour une entreprise dite « en période de croisière » (+ 3 ans)